samedi 18 avril 2015

CR du 8 mars, d’El Castillo à Bajos del Toro.



Juste pour le clin d’œil, je vous laisse les premiers paragraphes du compte-rendu que j’ai rédigé en arrivant à Bajos en fin de journée, avec les inconvénients que cela comporte ;-)
Je corrigerai ensuite le reste pour plus de lisibilité ! 
« Bon, finalement j'ai trouve un point internet au village de Bajos ( en fait, dans un bar, epicerie et tutti quanti! ), a defaut de wifi!



Mais bien sur avec l’habituel foutu clavier qwerty qui me rappelle de nombreuses vacances a l’etranger avec ses lettres mal placees et ses ponctuations introuvables, smiley rigolo.
Donc je ne vais pas m’enerver longtemps dessus, smiley clin d'oeil.

Le compte-rendu :

Petit dejeuner dans un soda d'El Castillo, ou en fait je ne prends qu’une tasse de cafe au lait.




Apres avoir profite pendant environ trois heures de mon forfait aux  Springs près de La Fortuna, sous une petite bruine cette fois,









j’ai pris la route en direction Bajos del Toro »

Arrêt à La Fortuna, où, sur les conseils du Lonely Planet, je mange au soda Viquez.







Mon steak a bon goût mais il est quand même très difficile à couper ( beaucoup de nerfs ) et comme toujours, les accompagnements sont hyper basiques, donc je ne suis pas franchement enchantée de mon repas,



et je serai très étonnée plus tard en voyant les super commentaires sur TripAdvisor. En plus, la serveuse qui s’occupait de ma table n’était franchement pas souriante, contrairement à l’autre, on va dire que je n’aurai pas eu de chance sur ce coup-là…



Je profite que je suis dans une ville pour acheter ( à prix d'or! ) des antihistaminiques, car non seulement j'ai épuisé le stock de ceux achetés en France, mais en plus, de toute façon, ils n'étaient pas efficaces. J'espère que ceux-ci marcheront mieux!





Je repars vite vers cette campagne bien verte et bien opulente, qui me plaît tant avec ses vaches grasses, ses plantations de papayers, ses bananiers aux régimes emballés de plastiques…

















La route s’est déroulée sous quelques averses alternant avec des éclaircies, et plus j’avançais plus je montais en altitude : Bajos est à 1350m d'altitude !
J’y suis presque, je vois des panneaux annonçant mon point de chute : la fameuse « Catarata del Toro » ( je vous traduis ? Cascade du Taureau ! )






















Je suis accueillie chaleureusement par le propriétaire, un Néerlandais marié à une Tica.
Je fais partie de trois privilégiés à mon logement : la fameuse Cascade du Taureau est fermée le dimanche mais les deux gars et moi, qui logeons sur place, y avons accès gratuitement :-)))
Pour le clin d’œil, oh étonnement, les gars sont en …Jimny ;-)





 Ne pas se tromper en repartant! ;-)










Étant arrivée à 16h30, ça ne me laissait pas le temps, oh, c'est ballot ;-), de descendre les watt mille marches ( 300, je crois :-/ ) pour aller la contempler du bas, car l’aller-retour prend plus d’une heure!
Mais il faisait bien assez jour pour que je fasse le tour du joli jardin juste à côté du resto du site, d’où on a une vue splendide sur la très haute cascade :-)))
Il y avait aussi des dizaines de colibris qui s’agitaient dans le jardin, c’était magnifique à voir, mais hyper difficile à photographier, ils bougent vraiment trop tout le temps, et même en vol stationnaire les ailes battent trop vite pour que l’appareil puisse faire la mise au point, d'autant plus que, dans les arbres, il commençait à faire sombre...
Mais je me suis régalée à les admirer en train de butiner les fleurs et boire l’eau sucrée mise à leur disposition. Je suis enchantée de voir en vrai ce spectacle fascinant que je n’avais jusqu'à présent vu qu'à la télé!













































































Si vous voulez voir de superbes photos des colibris de ce coin, allez dans la section "hummingbirds" du site-web de la cascade! 

Le proprio m’a dit que bien que n’étant pas un bon cuisinier (le resto est fermé, comme le site de la cascade ), il me proposait, si je voulais, de me faire à manger, comme il l’avait déjà proposé aux deux autres gars. J’ai accepté avec plaisir, et j’ai failli m’évanouir d'extase quand il m’a demandé si des spaghetti à la bolognaise, ça irait :-D Ça va me changer du riz et des haricots noirs (encore ce midi!)
Je m’installe dans ma chambre rustique qui, finalement, me plaît bien, avec ses murs en bois et sa vue sur la jungle, et en plus, j’ai droit à une douche électrique, certes, mais plus en version GiBi que costaricaine, avec réglage de la température, un vrai luxe ;-)



























Je redescends pour dîner.























Je suis d’abord déçue que le proprio nous ait installés à des tables séparées ( et qu’il ne mange pas avec nous ), mais bien vite, après nous avoir servis, il revient et nous discutons tous les quatre à bâtons rompus pendant un bon moment après le repas, même si je regrette de louper de temps en temps un peu de la conversation en anglais ( les gars sont italien et anglais )… Excellente soirée, et bon verre de vin espagnol, que j’ai d’autant plus savouré que c’était la fin de la bouteille : le milanais en aurait bien voulu aussi, mais il n’y en avait plus ;-p

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